Il est très fort. Sa musique, sa voix, ses textes, me font vibrer... C A L O G E R O.
Et, comme lui, assis devant mon écran... un certain.... dimanche matin, sur la planète bleue, je canarde aussi dans l'Azur infini un " C'est d'ici que je vous écris" (un des titres de ses chansons).

Alors ? Que vais-je vous écrire ce matin ?
Voici quelques jolies phrases tirées du roman de Arnaud Cathrine "JE NE RETROUVE PERSONNE".

VILLERVILLE : "Aurélien Delamare débarque à Villerville pour règler la vente de la maison familiale................."
Ma sélection du jour :
Page 35 : "C'est encore un travail forcené que de dépecer mon désir pour Junon [.....]
Autant de situations ordinaires à défaire en présence de Junon : ne plus rester en arrêt à l'approche de l'odeur de son souffle ou de son cuir chevelu ; enrayer cette envie réflexe de passer un doigt sous le tissu serré de son jean, à la chute du mollet, ou de suivre le tracé de ses deux clavicules saillantes.

( Oui, les deux jolies CLAVICULES, là, qui partent à gauche et à droite, en bas du cou.... Voilà.)
suite.... "ne plus observer son derrière fixement ou guetter cette étroite bande de peau qui se dessine entre la ceinture et la lisière du pull lorsqu'elle se penche ; contrer ce besoin de tout enlever pour nous retrouver collés l'un à l'autre [....] moi entrouvant ses lèvres pour plonger mes doigts dans la brûlure humide ; ne pas plus espérer lui inspirer ce large sourire qui lui faisait baisser les yeux comme par pudeur puis, brusquement, planter son regard dans le mien.... Ces images-là reviennent souvent".
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Maintenant qu'il est revenu en presque étranger dans son village natal, la question se pose autrement pour Aurélien Delamare : s'agit-il de retrouver quiconque ou de rencontrer enfin quelqu'un ?
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Bon vent...... à tout de suite !
Pierre-Jean